Un grand mouvement national s’empare du pays : à travers l’Association Framasoft et le Collectif des Hébergeurs Alternatifs, Transparents, Ouverts, Neutres et Solidaires Chatons, de nombreux outils libres et gratuits sont désormais accessibles pour nos concitoyens.
Quel en-est l’intérêt ?
La vie quotidienne regorge de nombreux services, très performants et efficaces, qui simplifient grandement l’utilisation des périphériques digitaux. On leur fait confiance, d’une part parce qu’ils sont souvent accessibles et gratuits, souvent mis à jour, et largement acceptés par la population. Il est souvent plus simple de partager un document et de le rédiger à plusieurs grâce au service GoogleDoc par exemple parce que tout le monde y a accès, que c’est simple d’utilisation, et qu’il suffit d’un simple identifiant Google pour y accéder. C’est certainement plus simple que d’échanger par l’échange de mails qui se croisent des documents dont on finit par ne plus trouver la version la plus récente.
Nous les utilisons également parce qu’ils offrent un confort d’utilisation sans pareil : les outils WISIWIG pour la rédaction de textes par exemple permettent de mettre en page en même temps qu’on écrit : on a les boutons de mise en page directement accessibles sans avir besoin d’en savoir plus.
On leur fait enfin confiance parce que l’équipe des développeurs qui les construisent jour après jour paraissent plus performants et plus efficaces : pour reprendre l’exemple ci-dessus, on fera moins confiance à un service proposé gratuitement par une petite association qu’à celui développé par un des GAFAM. Alors, pourquoi choisir une solution libre ?
Selon Wikipedia, « Un logiciel libre est un logiciel dont l’utilisation, l’étude, la modification et la duplication par autrui en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et légalement, ceci afin de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l’utilisateur et la possibilité de partage entre individus. […] Les logiciels libres constituent une alternative à ceux qui ne le sont pas, qualifiés de "propriétaires" ou de "privateurs". Ces derniers sont alors considérés par une partie de la communauté du logiciel libre comme étant l’instrument d’un pouvoir injuste, en permettant au développeur de contrôler l’utilisateur. »
Vous avez un projet ou un cahier des charges déjà défini, vous cherchez une animation pédagogique pour permettre à votre public ou vos adhérents de s’impliquer, ou une structure qui vous accompagne dans la réalisation de votre projet ?
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